Stéphane Weiss, journaliste écrivain

Stéphane Weiss

Journaliste écrivain

La plume et l'encrier

Laissez-moi vous dire...

Je suis né à Paris, le 26 février 1971, dans une famille unie. Selon mes proches, j'étais un enfant sage, timide et curieux de tout ! Peut-être avais-je déjà quelques aptitudes pour le journalisme puisque je posais sans cesse des questions !

Par nécessité, mes parents ont effectué toute leur vie professionnelle dans le monde de la Finance. Pourtant, ils ont toujours eu le goût de la musique et de la création artistique. Plusieurs membres de ma famille avaient également des talents reconnus pour les arts. Quelque part, j'ai dû les recevoir en héritage... En effet, j'ai rapidement attrapé le virus de la lecture et de l'écriture. Il faut dire qu'à la maison, il y avait toujours un journal, un magazine ou un livre qui traînait et, très jeune, j'ai été attiré par le monde fascinant des mots. Définitivement fâché avec les mathématiques, j'ai suivi des études littéraires et, à l'adolescence, j'ai découvert l'univers passionnant des médias. Pour moi, plus d'hésitation : il me fallait devenir journaliste.

Une fois le diplôme en poche, comme beaucoup de jeunes professionnels, j'ai connu la galère des petits contrats, des piges mal payées et des désillusions à la pelle... Tour à tour, j'ai exercé mes compétences au journal "Libération", à "L'Auto Journal", à "Judo Magazine", sur "Europe 2", sur les chaînes "Voyage" et "Euronews". Mieux armé, j'ai ainsi décroché un emploi de journaliste et de chef de rubriques au sein du journal "Metro" en 2002.

Ces années d'apprentissage furent éprouvantes mais aussi très formatrices. J'ai fait tout ce qu'il fallait même quand j'avais le coeur à marée basse. Je me suis donné sans jamais compter... Parfois, le doute m'a fait trembler, jusqu'à tomber. J'ai ri et un peu pleuré mais, finalement, quoi qu'il en coûte, j'ai toujours su me relever.

Au cours de ma carrière, j'ai fait la connaissance de sinistres personnages mais aussi des belles rencontres. Je veux ici remercier Marie-France Cubadda qui m'a véritablement mis le pied à l'étrier. Ainsi, cette jolie blonde m'a propulsé assistant de production sur la chaîne TV5. J'avais vingt ans et, grâce à Marie-France, j'ai appris en quelques mois les rudiments de la télévision, le stress du direct et le goût du travail bien fait. J'ai beaucoup de tendresse pour Marie-France Cubadda.

Une autre femme m'a également beaucoup marqué : Anne Sinclair. Encore adolescent, je ne ratais jamais une seule de ses émissions sur TF1. Plus tard, j'ai eu la chance d'effectuer un mémoire d'études sur "7 sur 7", programme phare de la Une, présenté par Anne Sinclair. Je peux bien l'avouer maintenant : c'était avant tout un moyen pour approcher, chaque semaine, "ma star" du petit écran ! Et j'ai également beaucoup appris en la voyant faire ce métier de journaliste.

Enfin, bien sûr, j'ai adoré Françoise Giroud. Sa vie, ses prises de position publiques et ses engagements plus personnels m'ont beaucoup influencé. Françoise avait l'art de la formule qui fait mouche, le talent pour écrire des articles incomparables et des livres à succès. J'ai cotoyé cette femme admirable pendant une dizaine d'années et, sans le savoir, "celle qui voulait être aussi valable qu'un garçon" m'a donné quelques leçons de vie.

En 2007, j'ai décidé de "changer de vie". Tout d'abord, j'ai déménagé ; j'ai quitté la grisaille, le froid, la pollution et le stress de Paris pour la douceur de vivre du Sud-Ouest de la France. Désormais, j'ai deux "casquettes" : journaliste et écrivain. Et je goûte autant que je le peux au bonheur de vivre !

Deux ou trois choses qu'on sait de lui...

Votre principal trait de caractère :
Mon entourage dit parfois de moi que je suis têtu mais je préfère répondre que je suis déterminé !

La qualité que vous préférez chez les femmes :
J'aime qu'elles soient subtiles, spirituelles, jolies (bien sûr !) et "classe", comme on dit.

La qualité que vous préférez chez les hommes :
L'honnêteté et le courage.

Votre principal défaut :
Je me pose parfois trop de questions.

Votre principale qualité :
La sincèrité. Je pense être courageux également.

Votre occupation préférée :
J'en ai plusieurs : voyager, lire, faire de bons repas et la fête.

Votre rêve de bonheur :
Vivre sans contraintes... Malheureusement, c'est impossible...

Quel serait votre plus grand malheur :
Perdre des êtres chers bien sûr ; la maladie me fait assez peur car elle peut faire basculer l'existence dans le cauchemar.

Qui voudriez-vous être ?
Un artiste de variétés, mais... à succès !

Où voudriez-vous vivre ?
Je me sens très bien dans le Sud-Ouest de la France mais, si j'en avais la possibilité, je me verrais bien vivre en Californie ou en Croatie.

La couleur que vous préférez ?
Le bleu du ciel.

Si vous étiez une fleur :
Un arum.

Si vous étiez un animal :
Un oiseau... pour prendre de la hauteur sur les situations, les choses de la vie et les êtres humains !

Vos auteurs préférés :
J'ai une vraie passion pour les ouvrages de Françoise Giroud.

Les artistes qui vous plaisent :
Beaucoup le savent, j'apprécie Sylvie Vartan depuis de nombreuses années. J'aime lorsqu'elle interprète des chansons slaves, ses chansons nostalgiques ("Aimer", "Rupture", "Darina", "Mon père", etc...) mais aussi ses medleys rock et yé yé qui me donnent la pêche ! De plus, les spectacles qu'elle propose au public sont toujours très travaillés et ils me procurent du bonheur. J'ai de l'affection pour Sylvie et Rika Zaraï qui sont devenues des amies. J'écoute aussi avec plaisir Patricia Kaas, Johnny Hallyday, Céline Dion et Isabelle Boulay. Au cinéma, j'ai un faible pour Ludivine Sagnier, Nathalie Baye et Catherine Deneuve.
J'apprécie également les humoristes Florence Foresti, Laurent Ruquier et Coluche.

Les personnages qui vous séduisent :
Certainement pas les hommes politiques de ces dernières années qui manquent cruellement d'envergure à mes yeux ! En revanche, j'apprécie beaucoup Anne Sinclair. De même, pendant plus de dix ans, j'ai eu la chance de fréquenter Françoise Giroud et je dois dire que cette femme était extraordinaire, très courageuse, dotée d'un formidable don pour l'écriture. Elle me manque et je n'apprécie guère que Christine Ockrent se soit permise de salir sa mémoire en écrivant un livre "à scandale" peu après sa disparition !

Votre plat et votre boisson préférés :
Les crustacés, les chocolats fins et le foie gras accompagné d'un verre de Montbazillac.

Ce que vous détestez par dessus tout :
Vaste sujet... La trahison, les embouteillages, la cigarette des autres au restaurant, qu'on oublie de me rappeller lorsque je laisse un message téléphonique... Je déteste me sentir "enchaîné", de toutes les manières que ce soit.

Le sport que vous pratiquez :
Je marche, je nage, je cours; tout cela très irrégulièrement !

Quelle est votre devise ?
"Ne pas faire du malheur avec des contrariétés".